la religion comme fait social


[1] André Akoun, « DURKHEIM Emile, 1858-1917 » in DENIS HUISMAN(S/D), Dictionnaire des Philosophes, Paris, PUF, 1984, p. 808. const string = count === 0 Il semble bien que la foi, en tant qu’expérience singulière, ne puisse se dissoudre dans le schème institutionnel religieux, pas plus que celui-ci ne puisse prendre en compte et en charge cela même qui procède, et proteste, d’une intime conviction. La religion : ensemble de croyances, de rituels et de pouvoirs, s'accomplissant comme fait social ? Il a fait valoir que la religion est, dans un sens, une célébration et même adaptation de la société humaine. Mais ces philosophes éclairés n’étaient pas le peuple, ils restaient massivement religieux et paradoxalement ce sont les sociologues même quand ils sont critiques, ils soulignent l’importance du fait religieux dans la société. qui définit les normes du politiquement correct et L’affirmation religieuse libre et la considération du sens universel de l’histoire car, dans toute l’histoire de l’homme il y a toujours un fait qui le marque et le détermine. Compte tenu de cette approche, Durkheim a proposé que la religion a trois fonctions majeures dans la société: il fournit une cohésion sociale pour aider à maintenir la solidarité sociale par les bases des rituels et des croyances, le contrôle social pour faire respecter les lois morales qui conforme et contrôle la société, et elle offre et cherche à répondre aux questions l'existentialisme. « Traiter les faits sociaux comme des choses » et poser les fondements d’une nouvelle science de la société qui, sur le modèle des sciences expérimentales, permette de mieux la décrire et l’expliquer : tel est le projet ... Nous sommes désolés que ce cours ne te soit pas utile, N'hésite pas à nous écrire pour nous faire part de tes suggestions d'amélioration, L'épidémie du SIDA en France : recherche, prévention et luttes politiques, Le temps des cohabitations- Terminale- Histoire, La vieille ville de Jérusalem, lieu de conflits, Du retour de mémoire au trop-plein de mémoires ? ob.commentCount(document.querySelector("#comment-count-179493944"), { La morale sociale peut renvoyer à l'ensemble des règles de conduite diffuses dans une société donnée (politesse, courtoisie, civisme), ou encore à des préceptes énoncés explicitement par une religion ou une doctrine (morale religieuse, philosophie morale, éthique). . Très brillant élève, il avait un très grand amour de la science et de la volonté générale. La religion omniprésente dans la vie politique }). Trouvé à l'intérieur – Page 8... c ' est la vie des religions aujourd ' hui ; ce ne sont pas les croyances ni les rites , c ' est la religion vécue comme fait social , l ' expression de la foi dans la pratique religieuse , les comportements religieux et leur ... : "%c" Enfin, proposez un exemple de ce que Durkheim considérait ou aurait considéré comme un « fait social » et justifiez votre choix. Il partage même les tâches entre la science et la religion : la première est de formuler les lois de la nature et la seconde est de donner un système solide de pratique et d’obligation de vie. La religion comme fait social; L'ancrage transcendant des lois « Une société qui serait sans religion » La piété n'est pas la soumission; Morale universelle, religion dynamique; Trois religions historiques; La religion civile; Les religions séculières « Dimanche de la vie » ou supercherie ? : count === 1 cet ouvrage éclairera la vision que l'on peut avoir aujourd'hui de la religion musulmane. Perception collective probablement renforcée par la croyance en une laïcité comprise comme un outil politique de lutte et d'interdiction à l'égard du fait religieux dans « l'espace public ». "0" Le paradoxe de la foi B. La fondation de la sociologie A. Emile Durkheim (1858-1917) A. Emile Durkheim (1858-1917) A. Emile Durkheim (1858-1917) 2) Durkheim : la sociologie comme science du fait social 2) Durkheim : la sociologie comme science du fait social 3) Durkheim : identifier et expliquer un fait social : l'exemple du suicide 3) Durkheim : identifier et . Il souligne le fait qu'il faut aller au-delà de la "mythologie" religieuse pour découvrir le fondement réel de la morale[5]. À mesure que le monde est mieux connu, on se rend compte . Aucun aspect de la pensee de Comte ne l'a autant desservi que sa pretention a fonder une nouvelle religion: ce faisant, il a en effet reussi le tour de force de mettre pour une fois d'accord les croyants et les incroyants. La religion est souvent perçue au sein de l'imaginaire et de l'opinion comme une affaire privée. Mais quand nous parlons de religion, nous ne parlons pas de la foi, mais de la religion comme fait social total, ainsi que l'a analysé Durkheim. ARCHIVES DE SOCIOLOGIE DES RELIGIONS On saisit ici les deux niveaux auxquels intervient le phénomène religion la religion comme fait social est pas étudiée pour elle-même mais en vue de fonder la réforme sociale Cette réforme est élaborée partir du principe religieux considéré comme le principe ordre promouvoir là où les . LA RELIGION EST UN FAIT SOCIAL DURKHEIM, la religion et le fait social En France, Durkheim est le premier à définir la sociologie comme une discipline distincte de la philosophie et de l'économie. Cet individu ne répond pas à la demande des lumières; or toutes activité de l’homme nécessité l’usage de la raison, laquelle te concédé les facultés d’analyses, de doute, ceci dans le but de reconnaitre les valeurs et les défauts de l’autre lesquels défauts mérites d’être acceptés afin d’envisager le vivre ensemble. la religion l'emporte souvent chez Marx sur l'analyse de la religion comme fait social. INTRODUCTION Le concept de morale tire son origine du mot latin moralis (relatif aux mœurs).... 17 Décembre 2016 Il est aussi à noter que la chose sacrée varie selon des religions. Ce sacré, nous semble-t-il se trouve dans la personne humaine qui a un caractère sacré. Cette injonction est partagée par les philosophes des lumières qui luttent contre la lâcheté et la paresse des peuples d’alors qui se complaisent de vivre sous la tutelle d’un pourvoir extérieur. Par exemple, depuis 2005/2006 on est passible de poursuites judiciaires si l'on change les paroles de la Marseillaise ou si on la chante en mode « rap ». Trad. D'une part elle ne précise […] Par exemple, la cohésion sociale parmi les membres d'un groupe terroriste est élevée, mais dans un sens plus large, la religion est évidemment entraînée en conflit sans interroger ses actions contre d'autres membres de la société. La morale sociale peut renvoyer à l'ensemble des règles de conduite diffuses dans une société donnée (politesse, courtoisie, civisme), ou encore à des préceptes énoncés explicitement par une religion ou une doctrine (morale religieuse, philosophie morale, éthique). Les philosophes conservateurs insistaient sur les rites, les symboles religieux les mystères religieux qui assurent l’intégration dans l’ordre social qui assurent les liens communautaires, on reste à l’utilité sociale ou non de la religion; on la définit alors par ses vertus et ses défauts. Au-delà de la variété des pratiques La nouvelle approche intégrative change l'orientation et l'accent de l'argument de Durkheim de la morale au fait que les croyances religieuses et spirituelles créent des idéaux sociaux tels que la compassion, la justice, la droiture, la charité, etc. Auteurs du travail de recherche effectué dans le cadre du cours de Philosophie de la religion sous la direction de Hervé Pascal OKOLONG, sac Docteur en philosophie. Nait au dix-neuvième siècle, en pleine période des lumières et d’emblée la religion fait partir de ses objets d’intérêts et les philosophes des lumières considérés la religion comme finie, balayée par le triomphe de la raison. Trouvé à l'intérieur – Page 151Dieu , le Christ et le salut , non comme les objets de leur culte et de leur espérance , mais comme les formes de leur très ... Puisque la religion est un fait social , puisque la révélation est pour tous , puisque la vie religieuse de ... Dès lors, il a vu progressivement dans la religion un milieu propice où les règles sociales à l’instar de la morale, s’expriment le mieux. La négation de la prétention chrétienne, c’est-à-dire que l’homme n’appartient à aucune religion dès la base. Durkheim a raison : il faut en effet traiter les faits sociaux scientifiquement si l'on veut: 1- les . Trouvé à l'intérieur – Page 129Comme le souligne Jean - Pierre Derriennic , « Kemal y joue personnellement un rôle considérable , alliant la maîtrise des symboles collectifs , le sens du ... considérée comme fait social , comme nécessaire au lien social . 04 octobre 2021 à 17:31:25. En somme, ces historiens appréhendent la religion comme un fait social qu'il convient d'étudier en lui-même et non pas simplement comme un aspect secondaire de problématiques plus larges. En instituant la distinction entre profane et . [12] Emmanuel Kant, Mendelssohn Moses, Qu’est-ce que les Lumières ? Doxa ou pistis ? R. franc, sociol. Alors pour une bonne avoir une bonne éducation morale, il faut passer par l'avènement d'une morale purement laïque. Offre spéciale : jusqu’à 3 mois offerts ! } Cette liaison est double unissant à la fois l'homme au sacré, au « tout autre » (R. Otto), mais aussi les hommes entre eux. La religion est une expression de notre conscience collective, qui est la fusion de toute notre conscience individuelle, qui crée ensuite une réalité. Pendant la vie de Durkheim, sa réflexion sur la religion a changé de manière importante. En prenant le temps de lire notre article, nous nous sommes rendu compte que Durkheim établit un lien intrinsèque entre la religion et la morale. The United Kingdom includes the island of Great Britain, the north-­eastern part of the island of Ireland, and many smaller islands within the British Isles. Un lien social n'exclut pas forcément l'autre. À la critique politique de la religion dénonçant en Il est nécessaire de rappeler que notre article portait sur le regard socioculturel du fait religieux. Nous verrons ici que, dans la perspective pratique que nourrit l’étude des religions de la sociologie durkheimienne il faut tout d’abord comprendre les idéaux de ladite société et des conditions d’inscriptions dans le réel, ceci, pour rendre plus vivante et plus solide la vie morale qui s’y déroule. L’usage et la récupération politique Rodrigue FEPESSI, INSTITUT DE PHILOSOPHIE SAINT JOSEPH MUKASA En effet, nous voyons donc le sacré dans l’idée du progrès et dans l’idée de la démocratie pour ceux qui y croient. }). À la critique politique de la religion dénonçant en celle-ci l'« opium du peuple », une seule réponse La religion . Il n’est donc pas facile de séparer ces deux fonctions car elles sont étroitement liées l’une à l’autre. : count === 1 BP 185(C195) YAOUNDE– CAMEROUN Durkheim nous propose un projet social idéal dédié à la morale, un savoir respectueux des faits et aux implications pratiques certaines, ce qui suppose de ne jamais céder aux sirènes du mysticisme ou des spéculations trop lointaines. Conception de l'éducation comme phénomène, comme « fait social » : En se retirant de ses fonctions pour travailler sur la question du but de l'éducation et en se retirant de ses valeurs (même s'il échoue en prenant le parti de la religion comme liant social), il voit l'éducation comme un fait social. } Le Camino de Saint Jacques: un chemin de vie ! Pour ce faire, il a été question pour nous de présenter dans un premier temps la biographie, ainsi que le contexte d'émergence et évolutif de la pensée durkheimienne. Dans ce sens, l’homme est caractérisé par : la liberté de la pensée face à la foi qui traduit le fait que l’homme face primer la raison au détriment de la foi. Pour cet auteur, qui reprend ici les propositions avancées dans ses précédents ouvrages (notamment L’acte d’exister, 2009 [ASSR, 148], Anthropologie existentiale, 2009 [ASSR, 152], Propositions anthropologiques, 2010 [ASSR, 156]), l’acte de croyance est « l’actualisation à un moment donné de compétences cognitives » laissées en jachère ou non encore disponibles dans l’émergence de l’homo sapiens, qui autorisent de penser ensemble, comme compossibles, des « qualités contradictoires », qu’une logique eut écartées. Dominique Bourel et Stéphane Piobetta, p.11. Finalement, l'universalité de la religion doit nous amener à questionner son origine. Pour Durkheim, la religion est l’objet de la science et doit se référer à la religion pour la bonne explication du monde. Célestin Christian NGOURA, SM : count === 1 resource: "http://pitti.over-blog.com/api/comment-count/83504707", Il faut considérer les faits sociaux comme des choses, c'est-à-dire de l'extérieur, sans a priori, sans céder à l. Emile Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse (1912), Edition PUF, Collection Quadrige, 1914, pp 60 et 65. échappant ainsi aux contraintes et nécessités du monde « réel ». resource: "http://pitti.over-blog.com/api/comment-count/97593272", », En plus de tout ceci, Alsace et Lorraine étaient arracher à la France et cela donne libre cours à la naissance du nationalisme  qui sera l’objet même de Barrès. Si bien que le naturaliste Quatrefages définissait l'homme « un animal religieux »[]. Cette approche s'intéresse aussi à la façon dont la religion était vécue par les acteurs. La société est capable d'éveiller chez ses membres la sensation du divin et d'être pour eux ce qu'un Dieu est pour ses fidèles - de les dominer, d'obtenir leur obéissance et de les tenir en respect. - Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) - .. Last update 10/10/2021 C’est en 1907 que Emile Durkheim, dans une lettre adressée au directeur de la Revue néoscolastique qu’il s’est défendu sur l’influence des certains sociologues allemands en religion. Dans sa dimension réflexive, toutes les sphères de l’homme ne doivent se soustraire à l’approbation de la raison telle est le champ d’action de la philosophie de la religion qui s’intéresse sur le fait religieux, le regard que l’homme porte doit être dépourvue de toute prétention de la foi car si, dans cet exercice, nous partons avec des préjugés, l’objectivité sera balayée du revers de la main au profit de nos convictions personnelles. Une histoire de la religion comme fait social . ? L’un des points décisifs qui leur caractérisent est le libre exercice de l’entendement. Les philosophes conservateurs insistaient sur les rites, les symboles religieux les mystères religieux qui assurent l’intégration dans l’ordre social qui assurent les liens communautaires, on reste à l’utilité sociale ou non de la religion; on la définit alors par ses vertus et ses défauts. > Chez tous les peuples il y a des cérémonies, des rites, un culte, des choses, des êtres, des lieux sacrés. Comment venir en ce tréfonds de l’être croyant, qui échappe à toute saisie objective ? Une erreur s'est produite, veuillez ré-essayer. Cette dernière va donc permettre à l’homme de faire la différence ou alors de dépasser le complexe entre l’étude par le mythe et celui de rite qu’il suppose la compréhension de la singularité d’un fait religieux. - FROIDEVAUX-METTERIE, « Religion et politique aux Trouvé à l'intérieur – Page 136Cela pourroit son tour comme fait social et point donner des soupçons que pour notre de jonction entre la religion et la compte n'admetions pas . monarchie . Le sixième chapitre est M. Baret ne nous connoît guère s'il la conclusion de ... Mais quand nous parlons de religion, nous ne parlons pas de la foi, mais de la religion comme fait social total, ainsi que l'a analysé Durkheim. RELIGION, DOGME et ABSURDITE Le concept de religion renvoie à 2 étymologies dont la première s'entend avec 2 sens différents. La religion, qui a toujours marqué l'histoire humaine, apparaît comme un phénomène culturel complexe et diversifié.Son rapport avec la raison est également complexe : souvent opposées, raison et foi finissent par paraître interdépendantes. Nous présenterons par la suite quelques conséquences qui pourront en découler, pour enfin terminer avec un regard socio-culturel à nos jours de la pensée Durkheimienne. Pour lui, le sociologue doit s'attacher à ce que les symboles expriment plus qu'aux signes qui les habillent. de la société américaine, a. Un système politique favorable à la La morale vient du latin moralis qui est relatif aux mœurs[3] est une notion qui désigne l’ensemble des règles ou préceptes, obligation ou interdictions relatifs à la conformation de l’action humaine aux mœurs et aux usages d’une société donnée. La religion comme fait social : la religion existe dans la cité, elle est une puissance sociale (églises). L’importance qui est accordée à ces concepts justifie leur primat dans la vie de l’homme. > Par exemple, pour Durkheim, le suicide est un fait social bien que, intuitivement, nous ne nous l'imaginons pas comme tel. Godlove NGWESE NDEMA Trouvé à l'intérieur – Page 71Il n'en va pas de même pour l'institution religieuse : non seulement le christianisme , mais encore toute religion se ... il évoque une attitude individuelle d'acceptation ou de refus , mais ne décrit pas la religion comme fait social . Et pour finir nous avons essayés de faire une certaine appréciation de sa conception. Cette expérience de soi, rappelle E. Falque, Bernard de Clairvaux la porte en absolu : elle est « expérience du soi, retour sur soi-même », opéré par un sujet « affectant », formule exacte de la subjectivité, ce fondement d’existence. Mais vouloir abstraire totalement la religion de ses liens avec l'histoire des peuples pour en faire un mouvement totalement individuel de l'âme face à la question du sens serait sans doute naïf. Philippe STEINER. références à la religion. Suivant sa méthode, il définit la religion ainsi : « Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c'est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée . C'est dans un de ses cours sur L'éducation morale (1906-1908) qu'il va essayer de mettre à jour les conditions d'avènement d'une morale "Laïque". Philosophie, ), L’expérience religieuse. > Et pour finir nous avons essayés de faire une certaine appréciation de sa conception. La société particulière complexe est, le système plus rigide. Approches empiriques. Consécutif de l'évolution de l'ambition histonographique déployée par les maîtres de la « nouvelle histoire », puis nourri par le désintérêt croissant d'une génération d'historiens du social, le progressif éloignement des interrogations de l'histoire sociale par rapport aux rivages de . } La philosophie de la re Un fait social. : "%c commentaires" D’un concept autorisant la saisie objective d’un fait ou phénomène déjà là, comme chose accomplie en toutes ses instances – rituels, croyances, régulations ecclésiales et dogmatiques –, l’expérience de la foi, et cela vaut à l’évidence pour la mystique, est aussitôt requise de dire ce qu’il en est de cette confiance qui fonde la rencontre personnelle et toujours inattendue du sujet et de son dieu. L’homme, depuis toujours est soumis à la morale qui, parfois dérive de la religion. L’homme, depuis toujours est soumis à la morale qui, parfois dérive de la religion. C’est pourquoi dans son vingtième chapitre de son traité sur la tolérance, il avoue « l’homme a toujours besoin d’un frein », c’est-à-dire de quelque chose qui lui permet de maitriser ses préjugés. Toute activité sacrée doit se faire sous le prisme de la considération de ces deux sphères citées plus. Nous nous rendons compte qu’Emile Durkheim pense que la religion est l'objet de la société. Il est donc judicieux sinon nécessaire de comprendre l’importance o combien fastidieuse de la sociologie des religions. Et l’expérience est bien ceci, en son étymologie : ce qui traverse et est traversé, ce qui ouvre et passe outre. Bro Christian Ngoura, SM création de groupes de pression, Par nature, le système fédéral ? En ce qui concerne la morale il pense à une morale typiquement laïque et qui consistera aussi à faire un dépassement par ce qu'il appelle ". », C’est dans cette esprit que Durkheim va croire à un socialisme qui était la croyance en la Raison, la République, l’Instruction et la Vertu, et qui sera une sorte de nouvelle religion pour les professeurs qu’il surnom les, CONCEPTION DURKHEIMIENNE DE LA MORALE ET DE LA RELIGION, est une notion qui désigne l’ensemble des règles ou préceptes, obligation ou interdictions relatifs à la conformation de l’action humaine aux mœurs et aux usages d’une société donnée. : count === 1 Histoire On suit des modes, on fait un peu comme tout le monde de peur d'être isolé. La relation de l'homme au sacré A. C. La religion comme fait social D. L'illusion d'une « religion naturelle » II. Et dont la qualification de « religieux » n’est que le nom premier de ce qui se dit subjectivité. L’homme, dans la dimension anthropologique de Voltaire, est considéré comme celui-là qui a été abandonné dans le monde et vit dans une situation de faiblesse, ce dernier a donc besoin de quelque chose qui lui permet de comprendre sa situation. La mise en perspective proposée par Pierre Gisel apporte des réponses contrastées. 5Ce « contact avec Dieu », dont les sciences sociales sont requises de traiter, au risque de n’en pouvoir répondre, la philosophie semble mieux à même d’en approcher. Mais les éléments d'analyse véhiculés par cette critique ont inspiré maintes approches sociologiques du phénomène religieux. On peut à cette proposition de Durkheim appliquer la maxime de Leibniz et dire qu'elle est vraie par ce qu'elle affirme et fausse par ce qu'elle nie. Evaristus ALSONHMBOM FUNGWE format: (count) => { … Car, il est néanmoins difficile à concevoir les uns sans les autres de même qu’une morale ferme et vivante ne peut exister sans une croyance commune. Mais au début du vingtième siècle en France, Emile Durkheim choisit un ordre tout différent. Ainsi donc, enlever la valeur de ses croyances, c’est détruire la base de sa signification pratique parce qu’elle est comprise comme un système de croyances et de pratiques inextricablement liée. ob.commentCount(document.querySelector("#comment-count-83504707"), { Vivre ce « mouvement intérieur de l’être », et revenir sans cesse « à l’action même du principe en nous », « épouser son libre mouvement ». L’acte de croire, comme l’adoration sont attestation d’une « présence comme un ailleurs ». Il faut, en plus, qu’elle ait devant elle un idéal auquel elle tende. La preuve en est que la plupart d'entre eux considèrent les . Ainsi nous pourrons dire qu’ « une société où les échanges se feraient pacifiquement, sans conflit d’aucune sorte, mais qui n’aurait rien de plus, ne jouirait encore que d’une médiocre moralité. format: (count) => { C'est la formule que tout adepte des sciences sociales connaît, même s'il n'a pas lu une ligne des travaux de Mauss. La religion comme activité de bienfaisance . De fait, c’est l’homme qui est au centre du fait religieux par la soif du sacré, il ressent un désir inné conscient d’entrer en rapport avec la Transcendance ou l’Absolu. La religion, objet de l'analyse juridique L'analyse juridique d'un fait social aussi important que la religion ne devrait pas soulever plus de difficulté que pour d'autres faits de société. La religion appui l’esprit de liberté ainsi que la république; il est vrai que l’ordre politique et religieux reste séparés. [11] Voltaire, Dictionnaire de Philosophie, Paris, Flammarion, 1964, p.261. 1. } On peut donc se demander où se trouve le sacré qui fait le lien social dans nos sociétés très individualistes ? Question 4 - Quelle définition Émile Durkheim donne-t-il du « fait social » dans Les Règles de la méthode sociologique ? L’expérience, écrit A. Feneuil, pourrait être ce point commun « susceptible d’analyse et de critique objectives », à condition de « mettre entre parenthèses le jugement de valeur » – et d’intégrer « la dimension subjective des croyances ». Il démontre en 1897 que, outre les facteurs psychologiques propres à l'individu, le suicide découle de causes et de déterminants sociaux comme l'absence de cohésion sociale généralement entretenue par des . Cet été, la maison de formation Casa di Maria... 24 Octobre 2020 ASSR supra), explicite le triangle conceptuel – émotion/intuition/ personne – à partir duquel cette « saisie immédiate de l’absolu » peut se vivre et se penser. Emile Durkheim dans sa vision idéale sociale évoque deux points sur la morale car, il pense qu'il faut une éducation morale et propose un projet social Morale et idéal[4]. Trouvé à l'intérieur – Page 27Les sciences sociales et les mutations des sociétés africaines Albert Muluma Munanga G.T.. marginaux, les drogués...). ... Celle-ci considère la religion comme un fait social empiriquement observable. Elle étudie les rapports ... le role social de la religion: Il est frappant de constater que, malgré la diversité de leurs ambitions et de ce qu'elles proposent à leurs fidèles, les religions présentent apparemment de nombreuses convergences : elles préconisent une morale, c&eacut Cette perception première est source de confusion. Trouvé à l'intérieurDans son analyse des « formes élémentaires de la vie religieuse », Durkheim définit la religion comme un « fait social » et même « un fait social total ». « Les représentations religieuses sont des représentations collectives qui ... resource: "http://pitti.over-blog.com/api/comment-count/96765580", Il ne s'agit plus, comme l'explique Leroux, de l'enseigner à l'école dans une perspective croyante, mais de la présenter « comme fait social, comme partie du réel et de la culture et . Mais Karl Barth, en son inquiétude de théologien, précise que la foi ne peut être tenue pour seulement expérience, mais son au-delà : le point où elle se nie comme, précisément, expérience aboutie. De ce fait pour améliorer la moralité, il faudrait que la société tende à réaliser un modèle de vie social qui apporte un plus à la morale de l’humanité. }), Pitti Djida Alain © 2020 -  Enjeux philosophiques, Réguler les pluralités religieuses : mondes indiens et chinois comparés, Conversions à l’islam, culture et religion : tensions et articulations, Christianisme orthodoxe et économie dans le sud-est européen contemporain, Façonner l’objet de dévotion chrétien, Le religieux et le politique à l'épreuve des révolutions arabes, Sociologies catholiques. C’est en 1907 que Emile Durkheim, dans une lettre adressée au directeur de la Revue néoscolastique qu’il s’est défendu sur l’influence des certains sociologues allemands en religion. Au prix, sans doute, de ne tenir les critères strictement collectifs et positifs que pour fragments d’un « événement » autrement plus décisif, qui relève de la raison même de l’existence humaine.
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